Beaucoup de candidats au visa E2 abordent leur projet comme une reconversion personnelle, en pensant “acheter un job” pour rester actifs aux États-Unis. En réalité, un visa E2 réussi repose sur une logique d’investissement : celle d’un système qui produit de la valeur, même sans vous. DNX Consulting, expert francophone des franchises US, vous explique pourquoi cette nuance change tout.
Briser le mythe : “acheter un job” n’est pas un projet d’investisseur
Nous voyons chaque semaine des entrepreneurs brillants tomber dans le même piège : chercher un petit commerce “à faire tourner soi-même” pour obtenir le visa E2.Le problème ? Ce type d’approche transforme un investissement stratégique en emploi déguisé. Or, le visa E2 n’a pas été conçu pour acheter son poste, mais pour diriger un véritable business qui crée de la valeur et des emplois.
DNX aide ses clients à franchir cette étape de mentalité : passer du réflexe “travailler pour son business” à “faire travailler le business pour soi”.
La franchise : un levier de croissance, pas un refuge professionnel
Une franchise n’est pas une boutique clé en main pour s’occuper. C’est un système éprouvé, conçu pour être dupliqué, piloté et faire croître des revenus à échelle locale. Autrement dit, vous n’investissez pas dans un “poste” mais dans une machine à délivrer de la valeur, déjà testée sur le marché.
C’est cette réplicabilité qui en fait l’outil idéal pour un investisseur E2.
Robert Kiyosaki – l’auteur de “Rich Dad, Poor Dad” – distingue quatre profils dans son célèbre “Business Quadrant”, qui représentent les quatre grandes étapes vers l’autonomie financière :
- E : Employé,
- S : Self-employed (indépendant),
- B : Business owner (chef d’entreprise),
- I : Investisseur.
Il décrit la franchise comme un raccourci entre le “E” et le “B”, voire directement vers le “I”. Elle permet de passer du statut d’opérateur à celui de propriétaire d’un système de façon accélérée.
L’analogie avec l’immobilier : maison personnelle vs bien locatif
Acheter un petit business indépendant, c’est souvent comme acheter une maison dans laquelle on va vivre : on la choisit selon ses goûts, on la rénove, on y met son style. Mais investir dans une franchise, c’est investir dans un appartement meublé à louer : on s’appuie sur des standards, un rendement, une gestion optimisée.
Le premier modèle flatte l’ego et l’envie d’indépendance, le second construit un patrimoine. Beaucoup de porteurs de projet E2 pensent “maison à leur goût” quand ils devraient penser “appartement rentable”. La différence, c’est la scalabilité. Une maison, on n’en vit qu’une. Un appartement rentable finance les suivants, on peut en posséder dix, vingt, cent.
Les erreurs les plus fréquentes des “acheteurs de job”
- Vouloir tout personnaliser.
Certains candidats veulent “adapter” la franchise à leur façon dès le départ. C’est l’équivalent de casser les murs d’un appartement neuf avant de le louer. Or, la valeur de la franchise réside précisément dans son cadre et ses procédures. - Confondre autonomie et isolement.
Acheter un petit business indépendant peut donner l’impression de liberté, mais c’est aussi la solitude des débuts, sans support marketing, ni réseau, ni formation. La franchise, elle, offre un accompagnement structuré et une communauté d’entrepreneurs. - Sous-estimer la puissance du système.
Chez DNX, nous avons accompagné des candidats qui voulaient “contrôler chaque détail” et se sont épuisés, pendant que d’autres, ayant fait confiance au modèle, ont ouvert leur deuxième unité en moins de 18 mois.
Une cliente DNX, par exemple, voulait au départ racheter un coffee shop indépendant. Après conseil, elle a choisi une franchise de services avec un centre d’appel centralisé géré par le franchiseur. Résultat : elle supervise 8 employés à distance et travaille moins de 15 heures par semaine.
C’est la différence entre travailler dans le business et faire travailler le business pour soi. Difficile de faire grandir son activité quand on est bloqué dans un rôle de technicien ou derrière un comptoir.
La franchise, l’arme secrète des investisseurs US avisés
Comme nous le rappelons dans notre article “La franchise, l’arme secrète des célébrités pour s’enrichir”, beaucoup de célébrités et d’athlètes investissent dans les franchises. Pourquoi ? Parce qu’elles offrent un rendement prévisible, un cadre légal transparent et une délégation possible. C’est la forme la plus accessible de “business ownership” — un investissement productif, pas un emploi glorifié.

Conclusion : penser comme un investisseur, pas comme un salarié
Le visa E2 est bien plus qu’un ticket d’entrée aux États-Unis : c’est une opportunité de bâtir un actif “scalable”. Mais pour cela, il faut adopter le bon état d’esprit — celui d’un investisseur qui choisit son système, pas d’un employé qui s’enferme dans celui d’un autre.
“Nous accompagnons les entrepreneurs francophones à identifier les franchises compatibles au visa E2, à valider leur potentiel et à les structurer comme de vrais investissements”, conclut Olivia Prevoteaux, collaboratrice chez DNX Consulting.
Contactez DNX Consulting pour transformer votre projet E2 en actif stratégique, et non en job déguisé.
Stéphane Deneux | DNX consulting
4141 PAMONA
Miami, FL 33133


